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Pour la musique, encore une fois merci à La Harissa, c'est du rap puissant, ça bouge et en même temps on ressent l'émotion de la musique traditionnelle portugaise.
Pour la musique, encore une fois merci à La Harissa, c'est du rap puissant, ça bouge et en même temps on ressent l'émotion de la musique traditionnelle portugaise.
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Retour au Portugal, voyage magnifique, quand on était gosse ça pouvait durer 2 jours, forcément ça marque, ça commence à Paris, son périf, sa pollution, son trafic, puis c'est la plaine française, Orléans, Tours, Poitiers, déjà 450km, puis Bordeaux et son Pont, ça sent le sud, après on traverse les Landes, des pins géants pendant 150km, puis c'est la montagne, le Pays Basque, Bayonne, Biarritz, Saint-Jean de Luz, et enfin la frontière, l'ambiance change, les camions espagnols, les cafeterias perdues au milieu de nulle part, les usines polluantes et les barres d'HLM entourées de terrains de pelote basque, puis vient Burgos, début du désert espagnol, si chaud le jour et si froid la nuit, surtout quand on dort dans la caisse sur une aire de repos, des champs de blé brûlés par le soleil nous entourent, les villes surgissent de nulle part, Palencia et son Christ perché sur la colline veillent sur la Castilla et las tierras de los campos et ses villages en terre, Valladolid, Salamanca, Benavente, Zamora, les villes Oasis vous accueillent avant l'arrivée au pays, cette fois la frontière est plus sommaire, une simple rivière à Quintanilha, le fleuve Minho à Valença, une petite chaîne de montagnes arides à Puebla de Sanabria, ou encore Vilar Formoso dans la Serra das Estrellas, enfin le Portugal et ses odeurs de bacalhau, de churrasco et de farturas, pour ceux qui rejoignent les côtes, la route continue, champs d'Oliviers au Tras Os Montes ou en Alentejo, montagnes de forêts sèches dans le Minho, forêts d'eucalyptus au Douro littoral, avant d'arriver à destination, pour ma part Porto, ses plages, ses fêtes, ses ponts, ses stades...et surtout la famille.
Retour au Portugal, voyage magnifique, quand on était gosse ça pouvait durer 2 jours, forcément ça marque, ça commence à Paris, son périf, sa pollution, son trafic, puis c'est la plaine française, Orléans, Tours, Poitiers, déjà 450km, puis Bordeaux et son Pont, ça sent le sud, après on traverse les Landes, des pins géants pendant 150km, puis c'est la montagne, le Pays Basque, Bayonne, Biarritz, Saint-Jean de Luz, et enfin la frontière, l'ambiance change, les camions espagnols, les cafeterias perdues au milieu de nulle part, les usines polluantes et les barres d'HLM entourées de terrains de pelote basque, puis vient Burgos, début du désert espagnol, si chaud le jour et si froid la nuit, surtout quand on dort dans la caisse sur une aire de repos, des champs de blé brûlés par le soleil nous entourent, les villes surgissent de nulle part, Palencia et son Christ perché sur la colline veillent sur la Castilla et las tierras de los campos et ses villages en terre, Valladolid, Salamanca, Benavente, Zamora, les villes Oasis vous accueillent avant l'arrivée au pays, cette fois la frontière est plus sommaire, une simple rivière à Quintanilha, le fleuve Minho à Valença, une petite chaîne de montagnes arides à Puebla de Sanabria, ou encore Vilar Formoso dans la Serra das Estrellas, enfin le Portugal et ses odeurs de bacalhau, de churrasco et de farturas, pour ceux qui rejoignent les côtes, la route continue, champs d'Oliviers au Tras Os Montes ou en Alentejo, montagnes de forêts sèches dans le Minho, forêts d'eucalyptus au Douro littoral, avant d'arriver à destination, pour ma part Porto, ses plages, ses fêtes, ses ponts, ses stades...et surtout la famille.
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Enviado por Irene (hi5)
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